À seulement 19 ans, Sariah Ibarra s'est déjà imposée au sein de l'équipe des États-Unis de rugby à sept. Avant de faire ses débuts en Coupe du Monde de Rugby, elle a accepté de se soumettre au feu de nos questions...
Pour toi, qu’est-ce que ça représente de participer à la Coupe du Monde de Rugby avec les États-Unis ?
« C’est vraiment quelque chose de spécial. Je fais partie des plus jeunes joueuses de l’équipe, et il y a un an à peine j’étais encore au lycée, alors le fait de pouvoir représenter mon pays, c’est vraiment spécial. Ça va être fantastique de pouvoir représenter ma famille en Coupe du Monde ce vendredi devant 40 000 personnes. »
Qu’est-ce qui te motive le plus à l’approche de la compétition ?
« Vivre une première Coupe du Monde en profitant pleinement de l’expérience, apprendre de mes erreurs, me familiariser avec l’environnement et le fait de jouer devant autant de monde. »
Le rugby, tu as ça dans la peau, mais y a-t-il des activités où tu estimes être nulle ?
« La cuisine. Je ne suis vraiment pas une cuisinière. Tout ce que je sais faire, c’est réchauffer du lait pour y plonger des céréales. »
As-tu des peurs irrationnelles ?
« Je n'aime vraiment pas les araignées. Je déteste les araignées. Rien à faire. »
À part le public américain, quel est le pays qui, selon toi, compte les meilleurs supporters de rugby ?
« La Nouvelle-Zélande. Les supporters là-bas y mettent tout leur cœur. J'y ai vécu et j'en ai fait l'expérience moi-même. »
Quelle est ta chanson fétiche à écouter dans le bus, pour te mettre dans ta bulle ?
« La première qui me vient à l'esprit est Nokia, de Drake. C’est récent. »
Si tu pouvais avoir quelque chose en quantité illimitée, ce serait quoi ?
« De l’argent. Avec ça, je peux aller partout. »
Cette année, il y a beaucoup de pays en compétition à la Coupe du Monde. Si tu pouvais apprendre une nouvelle langue instantanément, laquelle choisirais-tu ?
« L’espagnol. Beaucoup de gens parlent espagnol, alors je voudrais parler couramment espagnol. »
Si vous pouviez choisir de partir n'importe où en vacances, où irais-tu ?
« J'aimerais vraiment aller aux Maldives, pour la plage et le soleil. De préférence, j’opterais pour des vacances à la plage. Ou alors l’Italie, pour la bonne cuisine. »
Quel est ton passe-temps favori quand tu n’es pas en train de jouer au rugby ou de t’entraîner ?
« J'aime beaucoup les Lego. Je suis une grande amatrice de Lego, alors quand je ne suis pas sur le terrain, j’agrandis ma collection. J'ai construit un décor Disney, le Fantasmic!, où on retrouve Mickey et tout un tas de petits éléments de décors de films Disney. »
Si tu pouvais remettre au goût du jour une tendance, aussi discutable soit-elle, laquelle choisirais-tu ?
« Je choisirais les grands tutus flashy, parce que... pourquoi pas ? »
Si tu devais choisir une mascotte pour te représenter lors de la compétition, qu’est-ce que ce serait ?
« Ce serait Mickey, parce que j'adore Disney. »
Tu joues au plus haut niveau alors que tu es encore très jeune. Qu’est-ce qui t’a fait tomber amoureuse de ce sport ?
« Je suis tombée amoureuse du rugby parce qu'il s'adresse à tout le monde. Le fait de pouvoir jouer à ce niveau à un jeune âge montre aux jeunes filles qui m'entourent qu’on peut y arriver, quel que soit son âge. J'ai 19 ans et je suis là en train de vivre mon rêve, et j’ai deux petites sœurs à qui j’ai envie de montrer l’exemple. Quand on a un rêve, il peut nous emmener n’importe où. Pour moi, c’était la Coupe du Monde de Rugby 2025. »
