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Nouvelle-Zélande – Japon, toutes les informations

Des dernières déclarations aux infos pratiques pour suivre la rencontre, voici tout ce qu’il faut savoir sur le match de la Coupe du Monde de Rugby 2025 entre la Nouvelle-Zélande et le Japon.

Un billet pour les quarts de finale attend la Nouvelle-Zélande, sextuple championne du monde, en cas de victoire. Et peut-être aussi une page d’histoire du sport : si Portia Woodman-Wickliffe marque, elle deviendra la meilleure marqueuse d’essais de l’histoire du rugby néo-zélandais, hommes et femmes confondus, avec 50 réalisations (elle en compte actuellement 49, à égalité avec Doug Howlett).

Pour le Japon, l’enjeu est de transformer l’enthousiasme montré lors de leur défaite inaugurale face à l’Irlande (42-14) en quelque chose de plus concret. Leurs récentes victoires face aux États-Unis et à l’Espagne (deux fois) prouvent que les Sakura Fifteen en sont capables. Mais il faudra une performance de la même trempe que celle qui avait vu les hommes battre l’Afrique du Sud lors de la Coupe du Monde 2015.

Coup d’envoi : 15h00 (heure française), dimanche 31 août

Stade : Sandy Park, Exeter

Comment voir le match : Prenez les dernières places disponibles ici.

Ou consultez notre guide TV mondial pour connaître les diffuseurs dans votre région.

Nouvelle-Zélande

Nouvelle-Zélande, la joueuse clé : Difficile de choisir tant le talent abonde à chaque poste. Mais impossible de ne pas citer Braxton Sorensen-McGee. L’arrière de 18 ans est déjà une joueuse spectaculaire, une vraie pépite à suivre – et en plus, elle évoluera aux côtés de Portia Woodman-Wickliffe…

Japon

Japon, la joueuse clé : La capitaine Iroha Nagata porte beaucoup de responsabilités sur ses épaules. Sélectionnée dès ses 17 ans à la Coupe du Monde 2017, elle est aujourd’hui une cadre incontournable d’une équipe en pleine progression. Face aux Black Ferns, les Japonaises auront plus que jamais besoin de leur leader inspirante.

Déclarations

Allan Bunting, sélectionneur de la Nouvelle-Zélande

« Je pense que nous avons très bien commencé, avec le bon état d’esprit et la bonne intention. Cela fait deux semaines et demie que nous sommes ensemble et nos joueuses veulent continuer à progresser. C’est notre jeu. On a commis 17 erreurs, mais ce n’est pas une raison pour freiner, il faut encore s’améliorer.

« Ce sera le tout premier match de Coupe du Monde pour certaines de nos filles, un moment vraiment spécial. C’est un honneur de jouer contre le Japon. World Rugby et l’Angleterre ont fait du bon travail. On se sent privilégiés d’être ici. Jouer à Exeter, dans une telle ambiance, ce sera incroyable. Nous allons être totalement présents ce week-end et donner au Japon le respect qu’il mérite. »

Alana Bremner, capitaine des Black Ferns

« Nous avons énormément de respect pour le Japon. C’est une équipe très solide, des deux côtés du ballon, et nous nous attendons à un gros défi. »

Lesley McKenzie, sélectionneuse du Japon

« Elles ont aligné une équipe très forte. De notre côté, on a choisi un XV qui peut amener l’attitude et l’énergie nécessaires pour montrer qui nous sommes et comment nous voulons jouer dimanche. En tant qu’entraîneure, avoir l’occasion d’affronter les championnes du monde dès les poules, c’est très excitant.

« Contre la Nouvelle-Zélande, il faut frapper la première. L’équipe qu’elles ont annoncée envoie un message clair : elles veulent marquer les esprits. Si on reste spectatrices, on se fera balayer. Mais ce n’est pas notre intention. On commencera comme il faut : avec de l’agressivité, de la vitesse en défense, en restant dans nos systèmes et, on l’espère, avec la discipline nécessaire pour ne pas subir une pression inutile. »

Iroha Nagata, capitaine du Japon

« Après le premier match, le choc a été énorme, à titre individuel comme pour l’équipe. Mais dès le premier entraînement intense de la semaine suivante, l’énergie était incroyable.

« Les joueuses qui ne figuraient pas sur la feuille de match ont elles aussi beaucoup apporté, et cela a rendu la séance encore meilleure. En tant que capitaine, j’ai vraiment ressenti à quel point ce groupe est soudé.

« Je suis impatiente d’avoir l’opportunité d’affronter la Nouvelle-Zélande, les championnes en titre. J’ai hâte d’être au match. Avec tout le respect qu’on leur doit, nous voulons mettre en avant le rugby des Sakura Fifteen et rester focalisées sur nous-mêmes, en affichant cette approche dès le coup d’envoi. »

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