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Nouvelle-Zélande – Afrique du Sud, toutes les informations

Des dernières déclarations aux infos pratiques pour suivre la rencontre, voici tout ce qu’il faut savoir sur le match de la Coupe du Monde de Rugby 2025 entre la Nouvelle-Zélande et l’Afrique du Sud.

La Nouvelle-Zélande aborde son quart de finale contre l’Afrique du Sud en pleine confiance, avec l’ambition clairement affichée d’aller décrocher un septième titre mondial. Trois victoires nettes face à l’Espagne, au Japon et à l’Irlande leur ont offert la première place de la poule C, et les Black Ferns semblent parfaitement lancées pour aller au bout. Leur force réside dans la profondeur d’effectif, entre jeunes pépites comme Jorja Miller et Braxton Sorensen-McGee, et légende vivante comme Portia Woodman-Wickliffe.

En face, l’Afrique du Sud vit un moment historique : une première qualification en quart de finale de Coupe du Monde féminine. Les Springbok Women ont battu le Brésil et l’Italie lors des deux premières journées, avant de céder face à la France. Mais pas question de s’arrêter là : elles visent un nouvel exploit et un billet pour les demi-finales. Emmenées par leur capitaine Nolusindiso Booi en deuxième ligne, elles pourront compter sur l’ouvrière Libbie Janse van Rensburg et la virevoltante demi de mêlée Nadine Roos pour orchestrer le jeu à Exeter.

Coup d’envoi : 14h00 (heure française), samedi 13 septembre

Stade : Sandy Park, Exeter

Comment voir le match : Prenez les dernières places disponibles ici.

Ou consultez notre guide TV mondial pour connaître les diffuseurs dans votre région.

Nouvelle-Zélande

Nouvelle-Zélande, la joueuse clé : Jorja Miller, forcément, tant elle est précieuse dans son activité incessante et essentielle pour contrer la puissance du pack sud-africain au sol. Mais l’attention se portera aussi sur Braxton Sorensen-McGee : à 18 ans, elle est déjà l’une des meilleures marqueuses de la compétition, avec deux triplés à son actif. Les trois arrières sud-africaines vont avoir fort à faire pour l’empêcher de frapper à nouveau.

Afrique du Sud

Afrique du Sud, la joueuse clé : La petite demi de mêlée Nadine Roos, véritable dynamo des Springbok Women. Déjà choisie deux fois dans l’équipe Fantasy de la semaine, elle sera cruciale pour donner du rythme et faire vivre le ballon à Exeter. Elle sera aussi le relais derrière un pack massif qui tentera de mettre les Black Ferns sous pression en les attaquant plein axe.

Déclarations

Allan Bunting, sélectionneur
« On était fiers de notre prestation la semaine dernière, mais il y a encore des zones du terrain où on veut progresser, on veut s’améliorer. On sait à quoi s’attendre face à l’Afrique du Sud. On est ici avec une mission et ce week-end est crucial pour nous. »

Jorja Miller, troisième ligne
« En tant que Kiwi, on grandit avec la rivalité All Blacks – Springboks. Mais on veut aussi bâtir nos propres rivalités, notamment avec l’Afrique du Sud. Leur équipe féminine est encore jeune mais déjà très solide, donc ça promet. »

Swys de Bruin, sélectionneur
« Au classement, l’an dernier, nous étions treizièmes, puis douzièmes, et l’Italie septième. Donc cette victoire, c’est une énorme dose de confiance. Lors du match contre les Ferns au Cap, même si c’était leur équipe B, le fait de les battre nous a donné énormément de confiance. Nous sommes outsiders. La pression est sur elles. Nous n’avons aucune pression. Avec ces dames, je sais que si on leur met la barre là, elles vont la repousser plus haut. Quand on les met au défi de faire quelque chose, c’est incroyable ce qu’elles peuvent faire. »

Nolusindiso Booi, capitaine
« J'avais déjà les nerfs à fleur de peau... C'est une bonne chose que je me sente comme ça maintenant. Quand on entrera sur le terrain, je saurai exactement ce qu’on attend de moi.

« Je dois tout donner pour l'équipe, car je ne crois pas que nous allons là-bas simplement pour faire de la figuration. Je crois qu’on peut réussir quelque chose. Le sélectionneur parle toujours de miracles, et on a un groupe solide, 32 joueuses au soutien, sans compter nos supporters à la maison, nos familles et tous ceux qui sont restés là-bas, donc on va donner tout ce qu’on a.

« C'est ma dernière Coupe du Monde, donc pour moi, il faut tout donner parce que je sais qu'après, je ne toucherai plus un ballon de rugby. »

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