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Angleterre – Samoa, toutes les informations

Des dernières déclarations aux infos pratiques pour suivre la rencontre, voici tout ce qu’il faut savoir sur le match de la Coupe du Monde de Rugby 2025 entre l’Angleterre et les Samoa.

C’est une Angleterre largement remaniée qui entrera sur le terrain face aux Samoa. Le sélectionneur John Mitchell a procédé à 13 changements par rapport à l’équipe qui s’était imposée 69-7 contre les États-Unis. Avec la capitaine Zoe Aldcroft forfait jusqu’à la phase finale, tous les regards se tourneront vers la flanker expérimentée Marlie Packer, qui portera le brassard. À l’ouverture, Helena Rowland, capable d’évoluer à plusieurs postes derrière, voudra marquer les esprits.

Côté samoan, la première mission annoncée sera de s’adapter à l’immense affluence attendue avant même de pouvoir rivaliser avec l’impact physique des Anglaises. Avec un groupe composé en grande partie de joueuses semi-professionnelles, les Samoa cultivent un jeu de passes après-contact spectaculaire… à condition de réussir à entrer rapidement dans la rencontre.

Coup d’envoi : 18h00 (heure française), samedi 30 août

Stade : Franklin's Gardens, Northampton

Comment voir le match : Prenez les dernières places disponibles ici.

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Angleterre

Angleterre, la joueuse clé : Dans un XV profondément retouché, Megan Jones incarne la continuité. La centre a disputé l’intégralité du match face aux USA, réussissant 10 plaquages, 16 passes et parcourant 52 mètres ballon en main. On attendra d’elle la même influence, en association cette fois avec Jade Shekells, pensionnaire du club champion Gloucester-Hartpury.

Samoa 

Samoa, la joueuse clé : À 36 ans, la troisième ligne centre Nina Foaese est l’une des figures majeures du rugby féminin samoan. Avec six championnats d’Océanie et deux tournois WXV derrière elle, elle découvre enfin la Coupe du Monde. Fidèle à son surnom de Xena la guerrière, elle aura à cœur de défier la puissante mêlée anglaise.

Déaclarations 

John Mitchell, sélectionneur de l’Angleterre 
« D’abord, on ne se lassera jamais d’être réguliers. Même si on a fait le travail la semaine dernière, on a des standards à tenir, donc les filles sont régulièrement challengées là-dessus. C’est comme ça qu’on continue à grandir.

« Je pense que le vrai défi ce week-end, c’est qu’on va trouver des espaces. On devra les exploiter, mais surtout rester patientes dans notre exécution. Le risque, c’est de tomber dans le piège de jouer trop vite, trop librement. Il faudra donc garder la tête froide.

« Et puis, dans un monde où écouter et comprendre devient difficile, j’ai lu récemment qu’en quinze ans, la capacité d’écoute avait chuté de 20 %. Les gens écoutent en moyenne à peine plus de 8 secondes ! Alors nous, on préfère se concentrer sur bien comprendre ce qu’on fait et s’assurer que ça prenne forme sur la semaine. »

Marlie Packer, capitaine de l’Angleterre 
« Avec Meg Jones, on a pris beaucoup plus de responsabilités cette semaine. On soutient Zoe (Aldcroft), même blessée, et elle fait de même pour nous aux entraînements. On a encore échangé après la séance sur quelques points clés pour que l’équipe garde la bonne image qu’on veut renvoyer.

« J’ai eu la chance d’être "water girl" contre les USA. C’était un moment vraiment spécial, un souvenir gravé à jamais. Maintenant, on a hâte de fouler la pelouse cette semaine. »

Fuimaono Bella Milo, entraîneure de la défense samoane
« On a eu une analyse assez brutale dimanche (après la défaite 73-0 contre l’Australie). Les filles étaient déçues de leur prestation. On a eu des discussions franches sur notre préparation et notre état d’esprit. La deuxième mi-temps a été meilleure, donc on retient le positif pour l’amener dans le match de cette semaine.

« Quand on a 32 joueuses qui n’ont jamais joué de Coupe du Monde et qu’on se retrouve devant 10 000 spectateurs, c’est une expérience nouvelle. Affronter l’Angleterre chez elle, devant une grosse foule, ce sera énorme.

« Notre priorité, c’est la défense : contenir leur premier lancement et ensuite bien se réorganiser. En attaque, c’est simple : garder le ballon. Si on le conserve, nos grosses porteuses pourront vraiment entrer dans le match. »

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